One life
Auteur : Sheyrazade
O'Neill
Date de création : Juillet 02
Genre : 300% Romance
Publique : Tout publique
Résumé : La vie est une chose
précieuse et il n'est jamais trop tard pour la reprendre en main et vivre
ses rêves
Note de sheyrazade : Pas la peine que je
vous fasse un topo ? Vous connaissez les ? !
Ne faites pas attention aux fautes d'orthographes s'il vous plait.
J'espère que vous aimerez mon fic, je me suis donné du mal pour l'écrire même si il n'est pas bien long.
Encore une chose, pour la suite de mes autres fanfics, je vous annonce qu'ils sont en préparations. Ca arrive !!!!
Ce fanfic n'est pas très long, désolé ! J
Donnez-moi vos impressions !
BONNE LECTURE
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Que dire de ma vie ? De toute ses années perdues ? A mon âge,
je devrais être déjà marié, avoir des enfants, mener
la vie d'une femme comblée et épanouie. Non ?!
Tout ce que j'ai à la place ce sont ces foutus missions SG.
J'en ai assez de tout ça, marre de faire passer ma vie après le
travail. J'ai droit au bonheur moi aussi
je ne demandes pas la Lune pourtant
Elle se regarda dans le grand miroir de la salle de bain. Il éclairait
ses traits tirés et fatigués d'une lumière blafarde.
La jeune femme passa une main mal assurée sur ses cheveux humides. Elle
grimaçât en posant un doigt sur l'énorme bleu qu'elle arborait
sur la joue. Encore une séquelle de son métier.
Elle soupira et ouvrit la serviette de bain, le haut de son corps était
parsemé de bleus et de griffures. Quel homme, normalement constituer,
voudrait d'elle dans cet état?
Sam baissa la tête en refermant le drap de bain sur sa poitrine menue.
Elle réfréna un sanglot. Qu'est-ce qu'il lui arrivait ? Elle ne
se reconnaissait plus, un rien la faisait rire
un rien pleurer.
Janet avait bien fait de l'obliger à prendre ce congé. Elle ne
supportait plus les missions à répétitions, les tortures,
les morts. Oh ! Oui, elle savait bien ce que ça faisait de perdre les
gens qu'on aime, tous les hommes pour qui elle avait des sentiments avaient
tous péris : Martouf, Narim, l'ambassadeur Joe Sutton, Daniel. Etait-elle
maudite ?
Sam ferma la lumière en se dirigeant vers son lit. Elle avait besoin
de se reposer et cette dépression nerveuse n'arrangeait rien.
Elle enfila rapidement un pyjama et s'enfonça dans les draps immaculés
de son lit. Une fois de plus, elle était seule. Elle passa une main dans
les draps glacés à ses côtés et ferma les yeux.
Demain tout ira mieux ! se dit-elle avant de sombrer dans un sommeil serein
et réparateur.
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Le soleil éclairait son visage angélique, il donnait un reflet
d'or à ses cheveux blonds. Elle ouvrit ses grands yeux saphir, en souriant.
Aujourd'hui était un autre jour, il fallait qu'elle reprenne le dessus
et rapidement. Fini ses idées déprimante, ses rêves inaccessibles
Elle était une femme plutôt jolie, intelligente, avec du caractère
et elle possédait le sens de l'humour. Alors ou était le problème
? Elle pouvait avoir tout les hommes qu'elle voulait rien qu'en claquant les
doigts ! Le Lieutenant Simmons le premier, ensuite il y avait bien le Major
Davis qui lui faisait les yeux doux dés qu'il délaissait son poste
au Pentagone pour venir à la base, le Colonel Kelly qui la matait discrètement,
et même le nouvel infirmier
comment il s'appelait déjà
? En tout cas, elle n'avait pas raté la façon dont il bavait sur
elle à chaque fois qu'elle se déshabillait pour que Janet l'ausculte.
Tous dingue d'elle, tous si naïfs
car le seul qu'elle voulait vraiment,
était son supérieur.
Sam : Tu peux toujours rêver ma grande ! Jack O'Neill à d'autres chats à fouetter.
Elle se dégagea de ses draps et se leva en s'étirant. Sam tira
entièrement les rideaux et apprécia le contact chaud et doux du
soleil contre sa peau meurtrie.
Elle se dirigea en chantonnant vers la salle de bain. Décidément,
elle avait un moral d'acier ce matin.
Elle fit couler l'eau dans la baignoire et y jeta des perles de bain parfumé
à la vanille et au jasmin. Ensuite, elle commença à se
déshabiller. Sam ne pouvait s'empêcher de grimacer, ses muscles
lui faisaient un mal de chien.
Elle n'entendit pas le téléphone sonner à tu tête.
Elle se précipita à moitié nue dans la chambre.
Sam : Allô !
Jack : C'est pas bien de faire attendre les personnes âgées.
Un sourire radieux éclaira soudain le visage de la jeune femme.
Sam : Mon Colonel ?!
Jack : C'est bien moi jusqu'à preuve du contraire.
Sam : Excusez-moi mais j'étais dans la salle de bain, c'est pour ça
que je n'ai pas pus vous répondre.
Jack : Je vous taquinais Carter ! Vous savez qu'en vacances on doit se reposer
? Hein ?! Rassurez-moi là.
Sam : Ne vous inquiétez pas. J'ai retenue la leçon cette fois.
En plus, je suis horrible avec mon bleu sur la joue. J'ai peur d'effrayer les
gens en sortant hors de chez moi.
Jack : Vous vous trompez Carter, même avec un bleu sur le visage vous
êtes toujours aussi belle.
Sam baissa la tête, un peu gêné. Jack se traita de tous les noms mentalement. Ca lui avait échappé. Il toussota légèrement avant de reprendre la discussion, un brin troublé.
Jack : Sinon, ça va mieux ? Je veux dire les blessures ne vous font
pas trop mal ?
Sam : J'ai encore un peu mal mais d'ici quelques jours, je suis sûre que
ça passera.
Jack : Tant mieux
Visiblement, il hésitait. Sam sentait bien qu'il voulait lui dire quelque chose.
Sam : Mon Colonel ? Vous êtes toujours en ligne ?
Jack : Euh
Oui ! Oui ! Vous avez vu comme il fait beau ces temps-ci ?
Sam : Un temps incroyable pour un mois de Mai.
Jack : Je me demandais si ça vous dirait qu'on aille faire une petite
promenade en ville ?
Sam : Une petite promenade ?
Jack : Oui, vous savez marcher dans la rue, flâner sur le trottoir, traîner
sur le boulevard...
Sam ne pu réprimer un petit rire discret. Ce qu'elle aimait le plus chez son supérieur, à part son charme irrésistible, c'était son humour.
Sam : Je sais mon Colonel. A vrai dire, ça m'étonne un peu de
vous. Je pensais que vous alliez profiter des ces petites vacances pour traquer
le poisson.
Jack : Vous savez, il n'y a pas que la pêche dans la vie. Et vu, que vous
refusez catégoriquement de venir à mon chalet, c'est moi qui vient
à vous, gente dame.
Sam pouffa de rire à nouveau.
Sam : C'est d'accord alors !
Jack : Je viens vous prendre vers 18 h 30 ?
Sam : Parfait. A tout à l'heure, mon Colonel.
Jack : Carter ! Vous savez que j'ai un prénom ?
Sam (en riant) : C'est mémorisé.
Jack : Alors à tout à l'heure Sam.
Il raccrocha le combiné en souriant. Sam de son côté, était
encore pendu au téléphone et écoutait sans vraiment l'entendre
le bip assourdissant de la ligne téléphonique. Elle rêvait
ou le Colonel venait de l'inviter à passer 1 soirée entière
en sa compagnie ?
Le bruit de l'eau qui débordait la réveilla de ses songes.
Sam : Zut la baignoire !!!!
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Ding
Dong
Sam : J'arrive !
La jeune femme mit une goutte de parfum au creux de son cou, sur ses poignés et à la naissance de ses seins. Sam se contempla encore une fois, sur le grand miroir de la salle de bain, avant de dévaler les escaliers à toute allure.
Ding Dong
Sam se précipita vers la porte. Elle s'arrêta un instant pour se donner une contenance et remettre en place ses cheveux un peu ébouriffés.
Sam : Bonsoir mon Colonel !
Il portait une veste en cuir noir par-dessus un pull gris foncé col en V sur un pantalon en tissu noir. Sobre mais élégant !
Jack : Qu'est ce que je vous ai dit à propos du mon Colonel ?
Sam : Pardon ! Bonsoir Jack !
Jack : Je préfère ça.
Il se pencha en souriant vers une Sam plutôt étonné. Il l'embrassa tendrement sur la joue. Sam savoura la sensation de ses lèvres sur sa peau hmm son parfum allait la rendre folle.
Jack : Vous êtes en beauté ce soir. J'espère que c'est
pour moi ?
Sam : Sans aucun doute.
Elle lui lança un sourire à faire tomber à terre n'importe quel mâle digne de ce nom.
Sam : On y va ?
Jack : Après vous mademoiselle.
Elle fit virevolté sa robe en prenant son sac à main juste derrière elle. Jack admira ses jambes à travers la fine étoffe de sa robe.
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Jack : C'est très
comment dire
spécial ici.
Sam : C'est mon magasin préféré.
Jack : Je ne savais pas que vous aimiez ce genre d'endroit Sam.
Il loucha sur le nom du magasin.
Jack : Le Delhi âge ? C'est hippie ?
Sam : Indien !
Il détailla d'un air douteux l'entrée du magasin, envahi par des statues représentants des Dieux hindous. Sam le tira par le bras.
Sam : Vous allez aimez, j'en suis sûre.
Jack : Si vous le dites.
Dés qu'elle ouvrit la porte, une odeur d'encens captura leurs narines.
Une musique en fond sonore, faisait jouer un sitar accompagné de la voix
douce et reposante d'une jeune femme, sur des rythmes orientaux.
Sam s'arrêta devant un étalage d'huiles de massages.
Sam : Vous avez encore mal au dos ?
Jack : Oui, malheureusement.
Sam : Je pense avoir la solution.
Elle lui jeta un regard malicieux en se hissant sur la pointe des pieds afin d'attraper un flacon. Sa robe découvrait ses cuisses. Jack détourna les yeux, troublé.
Sam : Viens pas là, satané flacon Je l'ai !
Elle brandit, triomphalement, un flacon en verre de petite taille qui contenait un liquide d'une couleur ambrée.
Jack : Qu'est-ce que c'est ?
Sam : Un mélange d'huile de musc d'Orient et d'essences de fleurs d'Oranger.
Jack : Et c'est supposé faire partir mon mal de dos ?
Sam : Oui.
Jack (en ricanant) : Vous croyez vraiment à ces stupidités ?
L'air heureux qu'arborait Sam s'effaça.
Sam : Oui, je crois à ces stupidités, Jack !
Elle se retourna les larmes aux yeux. Cette foutu dépression nerveuse faisait encore des siennes. Jack s'avança vers elle.
Jack : Pardon, je ne voulais pas vous blesser. Vous savez moi et ma grande gueule !
Sam respira une grande bouffée d'air avant de jeter un regard à son ami.
Sam : C'est moi qui suis désolé. Je ne suis pas en grande forme, ces derniers temps, vous savez.
Elle voulut reposer le flacon mais Jack l'en empêcha en posant sa gigantesque main sur la sienne.
Jack : Tout compte fait, j'ai bien envie d'essayer cette recette miracle.
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La voiture s'arrêta dans un grand bruit de moteur.
Jack : Le carrosse est arrivé !
Sam ouvrit la porte et s'apprêta à sortir quand elle s'arrêta. Elle savait qu'elle ne devait pas faire ça mais c'était plus fort qu'elle. Elle en avait tellement envie.
Sam : Vous voulez prendre un dernier verre avant de rentrer ?
Jack la considéra un instant avant de répondre, un peu surpris par la proposition de son second.
Jack : Pourquoi pas !
Sam se précipita dans l'allée de sa villa, laissant le loisir de fermer les portières à Jack. Elle ouvrit la porte et attendit que son supérieur arrive pour l'inviter.
Jack : Vous avez refait la déco ?
Sam : Vous avez remarqué ?
Jack : Rien n'échappe à mes yeux d'aigle, vous devriez le savoir
depuis le temps ?
Sam (en riant) : J'avais encore oublié.
Personne n'ignorait que le Colonel avait des problèmes de vue, voilà
pourquoi il se trimballait toujours avec une paire de lunettes de soleil sur
le nez.
Jack retira sa veste et prit place dans le canapé.
Sam : Bière, café, soda ?
Jack : Une bière.
Elle revint quelques minutes plus tard, les bras chargés de cannettes de bières et de 2 verres.
Jack : Merci.
La jeune femme s'asseya à ses côtés en souriant. Elle alluma la télé et commença à zapper de chaînes en chaînes.
Sam: Dirty Dancing! J'adore ce film. Vous l'avez déjà vu?
Jack : Vous savez Patrick Swaze, c'est pas mon type.
Sam lui jeta un sourire.
Sam : C'est le film culte des années 80 ! Je me rappelle que j'étais folle amoureuse de Patrick Swaze.
Ses yeux pétillaient de joie. Jack la regarda en riant, il ne l'avait jamais vu dans un tel état.
Jack : Je parie que vous étiez du genre à placarder les murs de votre chambre avec les photos de vos idoles ?
Sam baissa la tête, honteuse.
Sam : J'avais même le pyjama à l'effigie de Patrick Swaze.
Jack : Non !
La jeune femme secoua la tête en grimaçant. Jack buvait sa bière en s'empêchant d'exploser de rire. Imaginer Carter adolescente, en fan hystérique de Patrick Swaze, c'était trop pour lui.
Jack : J'en découvre des choses sur vous ce soir.
Sam : J'ai des points faibles comme tout le monde. Et vous ? Vous deviez bien
être amoureux d'une actrice, d'une chanteuse ?
Jack se pencha vers elle et lui murmura à l'oreille.
Jack : J'étais fan de Meryl Streep.
Sam : Vraiment ?
Jack (en buvant un gorgée) : mm mm
.ouais
.
Sam : C'est une grande actrice romantique.
Jack : J'ai adoré " Sur la route de Madisson ".
Sam : Le jeu de Clint Eastwood était formidable aussi.
Jack : Fan ?
Sam : Non, il est beaucoup trop vieux.
Sam se mordit les lèvres, en réalisant ce qu'elle venait de dire. Elle avait presque insulté Jack indirectement.
Sam : Excusez-moi je ne voulais pas dire ça je
Jack posa la main sur son épaule en souriant.
Jack : Y a pas de lézard.
Il reposa lentement son verre sur la table basse en laissant glisser sa main
sur l'épaule dénudée de sa compagne.
En se relevant, il émit un léger grognement.
Sam : Ca va ?
Jack : C'est encore mon dos qui fait des siennes.
Sam : Ou avez-vous mal ?
Jack indiqua la zone lombaire de sa main, toujours en grimaçant.
Sam : Retirez votre pull.
Jack : C'est pas la peine de vous donner autant de mal, je
Sam (dans un ton sans appel) : Jack !
Jack la laissa faire. Sam passa ses doigts sur son dos et appuyait de temps à autres.
Sam : Passez-moi l'huile.
Jack lui tendit un petit sachet en plastique.
Sam : Allongez-vous Jack.
Jack s'allongea de tout son long sur le canapé, sur le ventre. Sam se
mit à genoux sur le tapis et versa quelques gouttes d'huile au creux
de ses mains.
Elle étala ensuite la mixture et commença à pétrir
le dos de son supérieur. Jack ferma les yeux et émit de temps
à autres des soupirs de contentements.
Sam : Ca vous fait du bien ?
Jack : J'adore
Sam se pencha et embrassa Jack au niveau de la nuque. Elle remonta ensuite vers le visage de son supérieur et l'embrassa sur la joue, encouragé par une vague de désir. Jack ouvrit les yeux, étonné des agissements de son Major. Sam se recula, réalisant ce qu'elle venait de faire.
Sam : Je ne sais pas ce qui m'a prit.
Jack ne décrocha pas un mot et se contenta de se retourner entièrement.
Il attira le corps de son second vers lui et scruta ses yeux.
Ensuite, il approcha son visage du sien et l'embrassa. Les deux amants furent
bientôt emportés par leur fougue et leur désir réciproque
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Le salon avait pauvre mine ce matin-là. Des cannettes de bières
jonchaient le sol accompagné des vêtements : des bas, une petite
culotte, une robe
La jeune femme gémit en se réveillant. Elle toucha l'emplacement
à ses côtés, il n'était plus là. Elle ouvrit
les yeux et regarda le salon à la recherche de son amant. Son cur
battait à la chamade
Il ne pouvait pas lui faire ça. Pas
lui.
Elle se leva en plaquant le drap sur son corps nu.
Sam : Jack ?
Elle n'eut aucune réponse. Une drôle de sensation lui saisit la
gorge, celle d'avoir été humiliée et utilisée. Des
larmes coulèrent sur ces joues.
Elle s'effondra sur le canapé et se mit à pleurer de plus belle.
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Quelques jours plus tard Base Cheyenne Mountain
Le Major Carter se dirigeait vers son labo, la tête plongée dans ses dossiers quand elle percuta le torse d'un homme. Elle se baissa pour ramasser ses dossiers en bredouillant des excuses. L'homme se baissa à son tour.
Jack : Je suis désolé, je ne vous avais pas vu.
Quand elle reconnut la voix, Sam leva la tête et rencontra le regard de son Colonel. Sa gorge se noua, elle ne devait surtout pas lui donner le loisir de la voir craquer. Elle ramassa prestement ses dossiers et s'en alla.
Jack : Carter ! Carter ! Attendez !
Il rattrapa la jeune femme alors qu'elle s'apprêtait à ouvrir la porte de son labo. Sam se retourna vers lui, ne laissant transparaître aucune émotion.
Sam : Colonel ?
Jack : Il faut qu'on parle Carter.
Il passa nerveusement sa main sur son menton tandis que le regard glacial de Sam le fixait.
Sam : Je vous écoute.
Jack : Pas ici, venez !
Il la tira vers l'intérieur du labo et ferma la porte à clef. Sam prit place sur une chaise et croisa les bras.
Jack : Je je voulais m'excuser pour vous savez
Le regard interrogateur de Sam le poussa à continuer.
Jack : Je n'aurais pas dû partir comme ça Sam.
Sam baissa la tête.
Sam : Je sais ce que vous allez dire.
Jack : Ah bon ?
Sam se leva et s'approcha de lui. Elle semblait lutter contre ses émotions mais bientôt elle se mit à crier comme une forcenée.
Sam : Oublions ça et restons des amis ! C'est ce que vous alliez dire,
Colonel ?
Jack : Calmez-vous bon sang. Ecoutez
Sam pointa un doigt vers lui, en retenant ses larmes.
Sam : Non, je ne veux rien entendre. Comment avez-vous pu me faire ça ? M'utiliser de la sorte ? J'ai un cur vous savez, quoi qu'en dises les femmes de cette base, j'ai un cur ! Je croyais que vous étiez différent des autres
Sa voix s'étouffa dans un sanglot. Jack resta pétrifiée, il n'avait jamais vu son second craquer et surtout jamais devant lui. Il essaya de la prendre dans ses bras mais la jeune femme le repoussa.
Sam : Vous devez bien rire maintenant ? Hein ? Vous savez réussi à
mettre le grand Major Carter dans votre lit ?
Jack : Sam
vous vous trompez complètement. Je suis parti parce que
j'avais peur de votre réaction. Je ne voulais pas que vous me disiez
de tout effacer comme pour l'histoire des Zatar'ks. Je n'ai pas du tout envie
que ça s'arrête entre nous, au contraire.
Les épaules de Sam s'affaissèrent, la jeune femme s'essuya les yeux en le regardant.
Sam : Vous n'aviez qu'à me dire que notre accord ne vous convenait pas.
Pourquoi avoir joué le jeu du meilleur ami avec moi alors ?
Jack : Je voulais vous préserver. Votre carrière compte tellement
pour vous.
Sam : Vous me croyez si cupide ? Je me fiche de mon travail, de ma carrière
et de l'Armée. La seule chose que je veux c'est vous.
Jack : Idem.
Sam se mit à sourire car Jack venait d'utiliser un des mots clés
de leur ami Jaffa (cf. l'épisode dont j'ai oublié le titre désolé
mais c'est dans la saison 5 !).
Jack tira le corps de son second et le plaqua contre le sien.
Jack : Je vous aime Carter.
Sam : Idem ici.
Jack : L'ironie vous va bien, vous savez.
Sam : Merci
on fait quoi maintenant ?
Jack : Ca !
Il plongea son regard chocolat dans les yeux saphir de son Major et captura ses lèvres dans un tendre baiser.
That's all !!